Pourquoi une thérapie?

Vous souffrez de dépression, d'angoisse, d'anxiété, de phobies, d'addictions, d'inhibition... Vous rencontrez des difficultés dans votre couple, avec vos enfants et dans votre vie professionnelle, il est urgent de confier votre souffrance à une oreille neutre et de l'exprimer dans une parole libre.

Ces symptômes ne sont que le sommet d'un iceberg dont la partie immergée est l’inconscient. Plutôt que de s’attaquer uniquement au sommet de cet iceberg et travailler à partir de la conscience seule, je vous propose de vous accompagner dans un travail en profondeur et de déchiffrer ensemble les mécanismes inconscients qui tissent la toile dans laquelle vous êtes pris, car les déchiffrer permet de s'en désaliéner et donc de mettre fin à la souffrance.

Pourquoi travailler sur l’inconscient ?

Parce que, pour parodier Freud, nous ne sommes pas maître en la demeure, mais soumis à des forces contraires qui nous entraînent parfois dans un sens opposé à celui que notre conscience voudrait nous faire suivre et qui fait le lit de notre souffrance.

Comment comprendre les symptômes qui divisent entre souffrance et satisfaction, les rêves qui mettent en scène notre division par l’opposition de désirs inconscients refoulés et de désirs conscients, les troubles sans aucune origine somatique qui ressemblent à s’y méprendre à des dysfonctionnements physiologiques, les comportements répétés à l’infini et qui font souffrir, les crises d’angoisse qui tétanisent. La liste pourrait être longue encore. L’explication vient du fait que le sujet est divisé. Ce n’est pas l’harmonie et la transparence qui régissent ces comportements mais les lois de la division. Le sujet est divisé et par ailleurs séparé du savoir qui pourrait l’éclairer sur sa souffrance, sur son symptôme

Ce savoir se loge dans l’inconscient. C’est pourquoi l’inconscient est le lieu à partir duquel travailler. Ce n’est pas la suggestion, l’éducation, la morale qui doivent guider une cure mais la possibilité offerte au sujet de parler en son nom. Ainsi sera-t-il possible d’analyser les résistances, de pointer le symptôme et d’accompagner le sujet vers une voie qui lui est toujours singulière, mais cette fois débarrassée des entraves inconscientes auxquelles il devait sa souffrance.

Qui sommes-nous après une thérapie ?

Contrairement aux idées reçues, nous restons le ou la même à la fin d’une thérapie.

Une thérapie ne change en rien ce que nous nommons communément notre caractère ou notre personnalité.

Pourtant les effets sont notables : nous ne sommes plus envahis par nos émotions, nous ne sommes plus atteints de la même façon par les paroles d’autrui, nous faisons la part entre ce qui est dû à la psychologie de l’autre et à notre propre psychisme, nous parvenons à nous déprendre de nos habitudes toxiques, nous sommes capables de prendre les décisions que jusque là notre inconscient nous empêchait de prendre, nous mettons fin aux comportements répétitifs et douloureux que tous les bons sentiments et toute la morale ne parvenaient pas à nous faire abandonner. En bref, nous agissons désormais selon notre désir et ne sommes plus soumis corps et âme à notre inconscient, lequel peut parfois nous pousser à agir dans un sens contraire à notre intérêt.